LA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS / THE TIME MACHINE (Édition Bilingue Français / Anglais) + Biographie de l'auteur autour de son oeuvre. (French Edition)

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About LA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS / THE TIME MACHINE

Londres, fin du XIXe : un groupe d’amis écoute les aventures d’un téméraire savant qui prétend avoir inventé une machine qui a fait de lui le premier voyageur du temps. Son récit débute en l’an 802 701. La Terre a toutes les apparences d’un immense jardin d’Eden. Les apparences seulement. Car derrière les jardins magnifiques et cet éternel été où les hommes oisifs n'ont à se préoccuper de rien et passent leur temps à jouer et à manger des fruits… se cache un horrible secret.Autour de l’aventurier, tout a bien changé. Il découvre un monde décadent où l'humanité s'est scindée en deux. Il rencontre les Éloïs, petits êtres gracieux, doux, décérébrés et à l’attitude pour le moins étrange : une sérénité mêlée à une sombre terreur, que l'apparition des Morlocks va bientôt expliquer... Ces être terribles ont fui la lumière pour s'enterrer dans un gigantesque et inhospitalier monde souterrain. Sortant la nuit des profondeurs de la terre, ils montent à la surface pour kidnapper et se nourrir des Éloïs...Un monde où l'explorateur du temps devra s'aventurer pour répondre à ses questions, et surtout revenir à son époque. Ainsi témoigne l'aventurier du temps face à des auditeurs incrédules…Mille fois copié, jamais égalé, La Machine à explorer le temps (1895) est le premier roman de H.G.Wells et le tout premier à évoquer la notion de voyage temporel. Wells y dresse un portrait austère et sombre de l'avenir de l'humanité. Il y expose ses idées sur le développement et le progrès de l'humanité, faisant de ce roman une fascinante métaphore de la lutte des classes dans les pays industrialisés, une critique acerbe de la société capitaliste et des inégalités sociales qui gangrénaient l’Angleterre victorienne. Pilier de la Science-Fiction moderne, La Machine à explorer le Temps offre une image éblouissante et poétique de fin du monde et la superbe vision, dans un futur encore plus éloigné, d’une Terre mourante sur le