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Product Description Comment le sentiment d'efficacité personnelle influence notre qualité de vie ? L'auto-efficacité agit comme un mécanisme autorégulateur central de l'activité humaine. Cet ouvrage se penche sur le sujet, proposant une synthèse majeure sur les représentations que les hommes ont de leur capacité d'agir avec efficacité. Fruit de très nombreuses recherches relatives à l’impact du sentiment d’efficacité personnelle sur la vie quotidienne des individus, cet ouvrage constitue, depuis sa 1e édition, la référence incontournable sur les représentations que les hommes ont de leur capacité d’agir avec efficacité, par l’influence sur eux-mêmes et sur leur environnement. L’auto-efficacité agit comme un mécanisme autorégulateur central de l’activité humaine. La confiance que la personne place dans ses capacités à produire des effets désirés influence ses aspirations, ses choix, sa vulnérabilité au stress et à la dépression, son niveau d’effort et de persévérance, sa résilience face à l’adversité… On découvre notamment dans cet ouvrage comment le sentiment d’efficacité personnelle peut modifier le fonctionnement immunitaire et la résistance à la douleur chez des patients, réduire voire éliminer des troubles aussi divers que les phobies, la dépression ou les troubles alimentaires, permettre à des élèves issus de milieu défavorisé d’obtenir de bons résultats scolaires, aider à vaincre des difficultés apparemment insurmontables. Cet ouvrage s’adresse aux étudiants des 2e et 3e cycles en psychologie. Il intéressera également les psychologues cliniciens, les pédagogues et les sociologues, de même que les responsables en management. Book Description Comment le sentiment d'efficacité personnelle influence notre qualité de vie ? L'auto-efficacité agit comme un mécanisme autorégulateur central de l'activité humaine. Cet ouvrage se penche sur le sujet, proposant une synthèse majeure sur les représentations que les hommes ont de leur capacité d'agir avec efficacité. About the Author Docteur en psychologie, il enseigne à l'Université de Stanford. Après avoir été initialement influencé par le courant behavioriste, il s'en est radicalement détourné, en soulignant l'importance des facteurs cognitifs et sociaux dans ses recherches. Il est aujourd'hui l'un des chefs de file du courant socio-cognitiviste en Amérique du Nord. Jacques Lecomte est docteur en psychologie et spécialiste de psychologie positive. Il a notamment enseigné à l’université Paris Nanterre et écrit de nombreux ouvrages sur la psychologie positive, la bonté humaine et la résilience. Il est également Président d’honneur de l’Association française de psychologie positive. Philippe Carré est professeur à l’université Paris Nanterre. Il s’intéresse particulièrement à la psychopédagogie des adultes, à l’ingénierie pédagogique et à la formation des adultes. Responsable de l’équipe Apprenance et formation des adultes au Cref (EA 1589), président de l’association Interface Recherche (Paris), il est aussi directeur de publication de la revue Savoirs.